Articles et ouvrages spécialisés – 2024
Jean François BILLETER | LI Zhi, philosophe maudit (1527-1602) |
Ariane KNÜSEL et Ralph WEBER | Die Schweiz und China Von den Opiumkriegen bis zur neuen Seidenstrasse |
Dominique DREYER | À l’ombre de l’Asie Impressions et rencontres (1974-2008) |
Estelle NIKLÈS VAN OSSELT | 4 articles sur la présence de Tissot en Chine |
Matthias MESSMER et CHUANG Hsin-Mei |
Taiwan – Land ohne festen Sockel |
Matthias SANDER | China auf dem Weg zur digitalen Supermacht |
Pascal GRECO | Kwai Shing West Estate |
LI Zhi, philosophe maudit (1527-1602)
Jean François BILLETER
éditions allia, 2024, 288 p., € 22,–
ISBN: 979-10-304-1616-9
Présentation tirée du site de l’éditeur:
«“LI Zhi est né en 1527 et mort en 1602. Il a vécu sous la dynastie des Ming, et plus précisément durant cette période de fermentation et d’effervescence qu’a été, pour la société chinoise, le XVIe siècle. L’époque et les circonstances de sa vie ont fait de lui ce que nous appellerons, pour la commodité, un philosophe. Elles ont surtout et d’abord fait de lui un homme en profond désaccord avec la société dans laquelle il vivait, et dominé par le sentiment d’être réprouvé par elle : un être maudit.”
Les deux ouvrages qui ont fait la célébrité de LI Zhi (prononcer LI Dj 李贄) sont Le livre à brûler et Le livre à cacher. Dans le premier, un recueil d’essais et de lettres publié en 1590, il s’en prenait vivement à l’hypocrisie qui régnait parmi les gens de pouvoir, dans l’administration impériale dont il a lui-même fait partie et au confucianisme dont ces gens se réclamaient. Ce livre n’a pas été brûlé, mais a été immédiatement interdit par la cour des Ming et ensuite mis à l’index par la dynastie mandchoue jusqu’à sa fin, en 1911. Dans Le livre à cacher, un vaste commentaire moral et politique de l’histoire de Chine, il dénonçait d’un autre point de vue cette idéologie. Le livre à cacher a subi le même sort que Le livre à brûler. Ces deux ouvrages et le reste de l’œuvre ont été progressivement redécouverts au 20e siècle.
De ce personnage aussi attachant qu’inclassable, Jean François BILLETER nous offre une biographie intellectuelle nourrie de nombreuses traductions. Il montre ce que son destin singulier nous apprend sur la société de son époque et sur un moment de l’histoire: une Chine bouillonnante dans laquelle était peut-être en gestation un avenir dont elle a été privée par l’invasion mandchoue de 1644 et le joug qu’elle a subi jusqu’au début du XXe siècle.
Cette biographie nous fait connaître un homme insatisfait, qui se sentait étranger à son temps et qui s’est en fin de compte sauvé par l’écriture. “Quand ils écrivent, disait-il, les gens s’efforcent d’entrer dans leur sujet en y pénétrant du dehors tandis que je suis dedans et que je fais des sorties, portant la bataille sous les murs de l’ennemi, puisant dans ses provisions, retournant contre lui ses hommes et ses chevaux ; je lui en fais voir de belles, je le mets en miettes ; je n’y dépense pas mes forces, qui me restent entières.”».
Publié en 1979 chez Droz à Genève, cet ouvrage était épuisé depuis de nombreuses années. Il s’agissait de sa thèse présentée en 1976.
Jean François BILLETER, professeur honoraire de l’Université de Genève et fondateur des études chinoises dans cette université.
Die Schweiz und China
Von den Opiumkriegen bis zur neuen Seidenstrasse
Ariane KNÜSEL et Ralph WEBER
Hier und Jetzt, 2024, 352 p., 93 illustrations, CHF 44,–
ISBN: 978-3-03919-616-6
Présentation tirée du site de l’éditeur:
«Ariane KNÜSEL und Ralph WEBER erzählen die bewegte Geschichte der Beziehungen zwischen der Schweiz und China. Das ebenso fundiert wie anschaulich geschriebene Überblickswerk spannt einen weiten Bogen – ausgehend von Schweizer Augenzeugen des Opiumkriegs und Kaufleuten, die als Konsuln dienten, bis hin zu einer Missionarin, der Mao höchstpersönlich mit Erschiessung drohte. Es erzählt von Maoisten und chinesischen Restaurants in der Schweiz, von Sympathiewellen für tibetische Flüchtlinge und der wirtschaftlichen Öffnung der 1970er-Jahre. Wie reagierte die Schweiz auf Tiananmen? Hat der Eklat um JIANG Zemins Staatsbesuch in Bern den Beziehungen nachhaltig geschadet? Wie kam es zum Freihandelsabkommen von 2013? Das reich bebilderte Buch -adressiert die brennenden Fragen unserer Zeit, beleuchtet aber auch vergessene Episoden.»
«Ariane KNÜSEL et Ralph WEBER racontent l’histoire mouvementée des relations entre la Suisse et la Chine. L’ouvrage de synthèse, écrit de manière aussi approfondie que claire, couvre un large spectre – en partant des témoins oculaires suisses de la guerre de l’opium et des commerçants qui ont servi de consuls jusqu’à une missionnaire que MAO en personne a menacée de fusiller. Il évoque les maoïstes et les restaurants chinois en Suisse, les vagues de sympathie pour les réfugiés tibétains et l’ouverture économique des années 1970. Comment la Suisse a-t-elle réagi à Tiananmen? L’esclandre provoqué par la visite d’État de JIANG Zemin à Berne a-t-il nui durablement aux relations? Comment est né l’accord de libre-échange de 2013? Ce livre richement illustré traite de questions brûlantes de notre époque, mais éclaire aussi des épisodes oubliés».
[Traduction SinOptic]
Ariane KNÜSEL est historienne et privat-docent en histoire contemporaine à l’Université de Fribourg. Dans ses publications, elle s’intéresse à l’histoire de la Suisse et de la Chine. Ralph WEBER est professeur à l’Institut européen de l’université de Bâle.
À l’ombre de l’Asie
Impressions et rencontres (1974-2008)
Dominique DREYER
Éditions Alphil, 2024, 380 p., CHF 33,–
ISBN: 978-2-88950-229-5
Présentation tirée du site de l’éditeur:
«Le 8 septembre 1974, mes parents, le cœur serré, réprimant avec peine leurs inquiétudes, m’accompagnent à l’aéroport de Zurich et me font leurs adieux, m’abandonnant au destin un peu comme si j’étais Christophe Colomb embarquant pour les “Indes orientales” » : non seulement c’était le départ pour la Chine, à une époque où celle-ci, fermée sur elle-même, semblait lointaine, mystérieuse et inaccessible, mais c’était aussi le début d’une carrière de plus de deux décennies en Asie comme diplomate suisse. L’auteur a passé seize ans en Chine, quatre ans au Japon et quatre ans en Inde. Il a également représenté son pays en Mongolie, en Corée du Nord, au Népal et au Bhoutan. Il a décrit la transition entre une Chine totalitaire et une Chine assoiffée de progrès et de changement, entre une Chine pauvre et sous-développée et une Chine engagée sur la voie d’un développement rapide. Il a pu constater les changements politiques au Népal et au Bhoutan. Ambassadeur en fin de carrière en Chine et en Inde, il n’a pas manqué de réfléchir sur les différences qui marquent ces deux géants.
L’auteur n’entend pas s’appesantir sur les détails de la vie diplomatique ni s’attarder sur les particularités de la politique étrangère suisse, mais s’attache plutôt à souligner combien le monde encore profondément divisé entre pays nantis et pays démunis est pourtant engagé sur la voie d’une mondialisation encore bien imparfaite mais impossible à éluder. De nombreuses anecdotes parsèment ses lignes soulignant les particularités de ce singulier métier qu’est la diplomatie.»
Né en 1945 à Berne, Dominique DREYER a fait ses études universitaires à Fribourg et à Cambridge (UK). Entré en 1972 au Département fédéral des affaires étrangères, il a été en poste à Pékin comme deuxième secrétaire (1974-1976), comme conseiller et premier collaborateur du chef de mission (1978-1982, 1995-1999), avant d’être nommé ambassadeur en Chine (1999), en République populaire démocratique de Corée et en Mongolie avec résidence à Pékin. À Berne, il a occupé des fonctions à la Division politique II (relations avec les États du Moyen-Orient, 1979-1984) ainsi qu’au Secrétariat politique et a été affecté à Tokyo comme premier collaborateur du chef de mission (1989-1992) puis à Paris (1992-1995). Il a été nommé ambassadeur en Inde, au Népal et au Bhoutan avec résidence à New Delhi en 2004.
4 articles sur la présence de Tissot en Chine
Estelle NIKLÈS VAN OSSELT
2024, europa star | Watch Files
– Once upon a Time: Tissot in Shanghai (1920–1948)
– In Time with Fashion: Tissot in Shanghai (1920–1948)
– The story of the Tissot Ping-Han Railway Watch
– In the Mood for Tissot: the debut in Hong Kong (1920–1997)
Mme Estelle NIKLÈS VAN OSSELT a étudié l’histoire de l’art, la sinologie, les arts asiatiques et l’archéologie dans les universités de Genève, Londres et Pékin. Aujourd’hui responsable de la
valorisation d’une grande marque de montres suisses, elle a auparavant travaillé comme conservateur au Palace Museum de Hongkong, à la Fondation Baur de Genève et pour la Fondation Guy & Myriam Ullens, entre Genève et Pékin. Elle est aussi l’auteur de plusieurs ouvrages principalement orientés sur la rencontre Orient-Occident dont la mode, la joaillerie et l’horlogerie qui ont remporté un vif succès et ont été primés à plusieurs reprises.
Taiwan – Land ohne festen Sockel
[Taiwan – Un pays sans socle solide]
Matthias MESSMER et CHUANG Hsin-Mei
Vontobel-Schriftenreihe, 2024, 80 p.
La publication peut être commandée et/ou téléchargée gratuitement.
Préface de M. Hans-Dieter VONTOBEL:
«Während sich unsere Blicke zur Zeit in die Richtung der Ukraine und nach dem Mittleren Osten richten, scheint eine kleine Insel im Pazifik etwas weniger Aufmerksamkeit auf sich zu ziehen. Doch dieser Schein trügt. Denn Taiwan, das frühere Formosa, ist nicht nur eine Wirtschaftsgrösse erster Güte, die insbesondere wegen der Herstellung von Chips globale Bedeutung hat. Vielmehr steht es spätestens seit dem Präsidium des chinesischen Machthabers XI Jinping im Fokus weitreichender Begehrlichkeiten. Nicht weniger als die Rückführung der «abtrünnigen Provinz» zurück in den Herrschafts- und Einflussbereich der Volksrepublik trachtet Peking zu verwirklichen.
Dabei zeigt sich zugleich Erstaunliches. Denn Taiwan, mit offiziellem Titel Republik China, bietet dem mächtigen Nachbarn an vielen Fronten Widerstand, wozu auch gehört, dass sich das Selbstbewusstsein des Inselstaats seit den 1980er Jahren immer nachhaltiger artikuliert. Von 1683 bis 1895 unter chinesischer Herrschaft, danach bis zum Ende des Zweiten Weltkriegs eine japanische Kolonie, erhielt das Eiland darauf den Status einer Republik unter der Staatspartei der Kuomintang und dem Langzeitpotentaten CHIANG Kai-shek. Nachdem sich jedoch die Volksrepublik des Festlands mit ihrer Ein-China-Politik auch bei den Vereinten Nationen durchsetzen konnte, geriet Taiwan massiv ins Hintertreffen: bis anno 1979 sogar die USA die diplomatischen Kontakte abbrachen. Umso hartnäckiger wurden Pekings Rückführungspläne.
Dass diese nur mit starken militärischen Mitteln verwirklicht werden könnten, macht aus der gesamten Region ein riesiges potenzielles Krisen- und Kriegsgebiet. Zugleich erzeugt erhöhter Druck von Seiten Pekings just das Gegenteil. Die Taiwaner sind seit längerem gerüstet und bereit, einer Invasion mit allen Mitteln zu begegnen. Im Porträt dieses Essays werden darüber hinaus auch geschichtliche, ökonomische, soziale und kulturelle Aspekte des faszinierenden Landes vertieft, dessen Unversehrtheit letztlich auch in westlich-freiheitlicher Verantwortung liegt. – Ich wünsche Ihnen ertragreiche Lektüre.»
«Alors que nos regards se tournent actuellement vers l’Ukraine et le Moyen-Orient, une petite île du Pacifique semble attirer un peu moins l’attention. Mais cette apparence est trompeuse. En effet, Taiwan, l’ancienne Formose, n’est pas seulement un acteur économique de premier plan, d’importance mondiale notamment pour la fabrication de puces électroniques. Depuis la présidence du dirigeant chinois XI Jinping, elle fait l’objet de nombreuses convoitises. Pékin ne cherche pas moins qu’à ramener la « province dissidente » dans la zone de domination et d’influence de la République populaire.
On y découvre aussi des choses étonnantes. Car Taiwan, dont le nom officiel est République de Chine, résiste à son puissant voisin sur de nombreux fronts, notamment parce que la conscience de soi de l’État insulaire s’articule de plus en plus durablement depuis les années 1980. Sous domination chinoise de 1683 à 1895, puis colonie japonaise jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’île a ensuite obtenu le statut de république sous le parti d’État du Kuomintang et le potentat de longue date de CHIANG Kai-shek. Mais après que la République populaire du continent ait réussi à imposer sa politique d’une seule Chine aux Nations unies, Taiwan a été massivement distancée, jusqu’à ce que les États-Unis rompent leurs relations diplomatiques en 1979. Les projets de retour à la patrie de Pékin n’en furent que plus insistants.
Que ceux-ci ne puissent être réalisées qu’avec de puissants moyens militaires fait de l’ensemble de la région une vaste zone de crise et de guerre potentielle. Dans le même temps, une pression accrue de la part de Pékin produit exactement l’effet contraire. Les Taïwanais sont armés depuis longtemps et prêts à faire face à une invasion par tous les moyens. Le tableau dressé par cet essai approfondit en outre les aspects historiques, économiques, sociaux et culturels de ce pays fascinant, dont l’intégrité relève en fin de compte aussi de la responsabilité de l’Occident et de la liberté. Je vous souhaite une lecture enrichissante.»
[Traduction SinOptic]
Inhaltsverzeichnis – Table des matières
Einleitung: Die Wiederentdeckung eines Landes, das keines sein darf 5
I. Kaleidoskop an Identitäten – von den Ursprüngen bis zur Kapitulation Japans 9
II. Flucht als Segen – von der Kuomintang-Herrschaft zur Demokratie 19
III. Gefährliche Kriegsspiele – die Tragik von Taiwans Odyssee in der Weltpolitik 29
IV. Das «Taiwan-Wunder»: Von der rohstoffarmen Insel zur Chip-Hochburg der Welt 44
V. Taiwans kulinarischer Cocktail 54
VI. Eine Insel als kreatives Labor: Die Entschlüsselung Taiwans in Film und Literatur 62
VII. Von Konfuzius zu Pop: Identitäts- und Generationenwechsel 68
Glossar 74
Literaturverzeichnis 79
Autres ouvrages de Matthias MESSMER et CHUANG Hsin-Mei:
– China at its Limits – An Empire’s Rise Beyond its Borders, 2018
– China’s Vanishing Worlds. Countryside, Traditions and Cultural Spaces, 2012
Autres ouvrages de Matthias MESSMER:
– Jewish Wayfarers in Modern China. Tragedy and Splendor, 2012
– China – Schauplätze west-östlicher Begegnungen, 2007
China auf dem Weg zur digitalen Supermacht
Überwachung und Innovation
Matthias SANDER
Mitteldeutscher Verlag, 2024, 280 p., € 20,–
ISBN: 978-3-96311-885-2
Présentation tirée du site de l’éditeur:
«Hängt China jetzt alle ab? KI, Chips und E-Mobilität im Reich der Mitte.
Chinas Partei- und Staatschef XI Jinping will sein Land dank Technologie zur Supermacht formen. Bei künstlicher Intelligenz, E-Autos und Computerchips zählt China schon zur Weltspitze. Doch weitere Fortschritte sind bedroht, etwa durch amerikanische Sanktionen und XIs hartes Durchregieren.
Die anschaulichen, erzählenden Texte des Auslandsjournalisten Matthias SANDER beleuchten Chinas technologische Ambitionen ganz konkret. Seine Reportagen führen durch den digitalen Alltag, stellen innovative Startups vor und beleuchten die staatliche Subventionspolitik. Dabei betrachtet SANDER Technologie stets im grösseren Kontext von Politik, Gesellschaft, Wirtschaft und Individuum – und den Auswirkungen auf Europa. Das Buch richtet sich somit nicht nur an Technologie-Interessierte, sondern an alle, die das gegenwärtige China besser verstehen möchten.»
«La Chine laisse-t-elle tout le monde derrière elle désormais? IA, puces et électro-mobilité dans l’Empire du Milieu.
Le chef du Parti et de l’État chinois XI Jinping veut faire de son pays une superpuissance grâce à la technologie. La Chine est déjà l’un des leaders mondiaux en matière d’intelligence artificielle, de voitures électriques et de puces informatiques. De nouvelles avancées sont toutefois menacées, par exemple par les sanctions des États-Unis et le régime strict de XI Jinping.
Les textes clairs et narratifs du correspondant Matthias SANDER mettent en lumière les ambitions technologiques de la Chine. Ses reportages font découvrir la vie numérique au quotidien, présentent des jeunes pousses innovantes et mettent en lumière la politique de subventions de l’État. M. SANDER insère toujours la technologie dans le contexte plus large de la politique, de la société, de l’économie et de l’individu – et ses conséquences sur l’Europe. Le livre s’adresse donc non seulement à celles et ceux qui s’intéressent à la technologie, mais aussi à toutes les personnes qui souhaitent mieux comprendre la Chine contemporaine.»
[Traduction SinOptic]
Né à Mayence en 1986, Matthias SANDER a étudié la politique et la sociologie à Bordeaux et à Stuttgart. Il est journaliste à la Neue Zürcher Zeitung (NZZ) depuis 2014. De 2020 à fin 2023, il a été correspondant en Chine de la NZZ pour la technologie. En raison de la pandémie, il a d’abord rédigé ses reportages depuis Taiwan, et, à partir de 2021, de Shenzhen, métropole dans le sud de la Chine, ville natale de Huawei et d’autres entreprises technologiques de classe mondiale.
Kwai Shing West Estate
Pascal GRECO
Building Books & Chambre Noire, 144 p., 29 €
En anglais et en français.
Présentation tirée du site de l’éditeur:
«Kwai Shing West Estate est un complexe résidentiel de Hongkong dans lequel vivent 18’000 personnes. Il a aimanté l’attention du cinéaste et photographe Pascal GRECO par son architecture et par sa construction atypique à flanc de colline. Ce livre présente les fruits d’une récolte qui aura duré dix ans et permet de saisir, tant par la photographie que par le film, accessible via un code QR, cette fascination.»
Page dédiée du site de Pascal GRECO
Modification de la page le 23.09.2024