Articles et ouvrages spécialisés – 2016
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Transporter de la main-d’œuvre chinoise à Panama : enjeux économiques et représentations d’un jeune ingénieur suisse à la fin du XIXe siècle M. Laurent TISSOT, Presses Universitaires de France, « Relations internationales », 2016/3, n° 167, pp. 73-86 ISSN 0335-2013 ISBN 9782130734062 Version web M. Laurent TISSOT est professeur d’histoire à l’Université de Neuchâtel. Voir également Des Chinois pour le canal de Panama. Correspondances 1886-1889, Henri ÉTIENNE, Correspondance préfacée et annotée par Laurent TISSOT. |
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Encyclopedia of Chinese Language and Linguistics (5 volumes) Rint SYBESMA, éd. en chef, Université de Leiden, Wolfgang BEHR, Université de Zurich, GU Yueguo, Chinese Academy of Social Sciences, Zev HANDEL, Université deWashington, C.-T. James HUANG, Université de Harvard et James MYERS, National Chung Cheng University Brill, 3’454 pp., 5 volumes (4 + volume d’index), US$ 1’716,–. ISBN13 9789004186439 Présentation tirée du site de l’éditeur : «The Encyclopedia of Chinese Language and Linguistics offers a systematic and comprehensive overview of the languages of China and the different ways in which they are and have been studied. It provides authoritative treatment of all important aspects of the languages spoken in China, today and in the past, from many different angles, as well as the different linguistic traditions in which they have been investigated. In more than 500 articles, written by major specialists in the field, the Encyclopedia offers a synthesis of the most important research in Chinese linguistics and up-to-date bibliographical coverage. As such it is the prime reference source for information on: • the lexicon, syntax, and sound structure of the Sinitic and non-Sinitic languages of China, including sign languages • the history of languages in China and their situation today • the history of Chinese linguistics, both indigenous and Western traditions • the sociolinguistic situation, language contact, and language variation • psycho- and neurolinguistic studies on Chinese, including first language acquisition • and many other aspects of Chinese and Chinese linguistics (e.g., Chinese in the diaspora, Chinese loanwords in other languages, history of lexicography, language pedagogy, etc.).» |
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Suisse-Chine : une culture du rapprochement L’activité économique et culturelle suisse en Chine : essai de contextualisation 瑞士与中国:渐行渐近的文化进程 M. Jean-Jacques DE DARDEL, Shanghai, East China Normal University Press 华东师范大学出版社, 2016, version bilingue – 85 p. (fr) et 59 p. (cn), RMB 48,– / CHF 12,–. ISBN 978-7-5675-5543-3 Commande dans le site de l’éditeur. Présentations tirées du site de l’Ambassade de Suisse en Chine : « L’actuel ambassadeur de Suisse en Chine propose un examen complet mais concis de l’évolution des relations bilatérales sino-suisses. Publié en français et en chinois, ce livre explore également le développement de la politique étrangère et de la politique culturelle extérieure de la Suisse. En tant que diplomate chevronné, l’ambassadeur DE DARDEL fournit une analyse perspicace, sincère et critique de l’engagement politique, économique et culturel entre les deux pays. Son ouvrage est également riche de statistiques liées au commerce bilatéral, en combinant faits et chiffres avec la culture et le contexte général. Son analyse astucieuse révèle le potentiel et les capacités des deux pays à forger un partenariat à part entière dans les années à venir. Des clichés des photographes suisses Fernand GIGON et Gaby STEINER illustrent agréablement le texte, transformant sa lecture en une expérience stimulante. »
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Histoires entre la Chine et la Suisse Mme XU Yingzhi 许颖之, Beijing, Presse intercontinentale de Chine, 2016, 276 p. Préface de Mme XU Jingshu, ambassadrice de Chine en Suisse de 2013 à 2016, de M. Jean-Jacques DE DARDEL, ambassadeur de Suisse en Chine et de M. Thomas WAGNER, président de la Société Suisse-Chine ISBN 978-7-5085-3288-2 Existe également en chinois : 中国和瑞士的故事 234 p. ISBN 978-7-5085-3285-1 et en allemand : Geschichten der Freundschaft über China und die Schweiz 268 p. ISBN 978-7-5085-3289-9 Présentations tirées de la couverture : « La Suisse a été un des premiers pays occidentaux à reconnaître la Chine et à nouer des relations diplomatiques avec elle. Depuis plus d’un demi-siècle, les relations sino-suisses n’ont jamais cessé de se renforcer malgré le grand bouleversement que le monde a vécu ; elles sont ainsi considérées comme modèle de relations amicales que la Chine a nouées avec les pays étrangers ayant des régimes différents. Ce recueil est la contribution de 25 auteurs, dont 6 amis suisses. Parmi les auteurs chinois, il y a des diplomates tels que des ambassadeurs, conseillers, consuls généraux ou attachés qui ont travaillé pendant une longue période auprès de l’Ambassade ou des Consulats généraux de Chine en Suisse, un journaliste, ainsi que des représentants de villes ou de collèges jumelés, de ressortissants chinois ou d’ancien étudiant ayant travaillé en Suisse. Par ailleurs, la présence des auteurs suisses constitue un point non négligeable. Il s’agit des anciens ambassadeurs suisses en Chine, des anciens président et vice-président de la Société Suisse-Chine, des anciens présidents de collèges jumelés, des experts qui ont travaillé longtemps en Chine, ainsi que des représentants d’entreprises s’investissant dans le coopération technique sino-suisse. Tous les auteurs sont les contributeurs et les témoins des échanges amicaux durant plus d’un demi-siècle entre les deux pays. À travers ces histoires, ces détails ainsi que ces épisodes vivants, en ajoutant des photos, ce recueil intéressant mérite une lecture. »Née en 1935, Mme XU Yingzhi est originaire de la province du Shandong. Elle est diplômée en automation industrielle de l’Institut de technologie de Nanjing. Entrée en 1965 au Ministère chinois des affaires étrangères, elle a occupé les fonctions d’attachée culturelle à l’Ambassade de Chine à Berne de 1972 à 1982 et de consule de la République populaire de Chine à Zurich de 1988 à 1991. Elle est membre d’honneur de la Société Suisse-Chine.
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Abschied von China Texte tiré du site de l’éditeur : Peter ACHTEN wurde 1939 in Basel geboren. Nach dem Studium arbeitete er als Lokaljournalist, später als Korrespondent in Lateinamerika und Spanien. Anschliessend war er zehn Jahre als Produzent und Moderator bei der «Tagesschau». Nach Peking kam er 1986 als China-Korrespondent des Zürcher «Tages- Anzeigers» und des Radios, er blieb dort bis 1990. Dann kam der Wechsel nach Washington – als Fernsehkorrespondent. Von 1994 bis 1997 war Peter ACHTEN Asien-Korrespondent mit Sitz in Hongkong, darauf folgten zwei Jahre in Vietnam. Seit 1999 lebt und arbeitet er in Peking als Korrespondent für Schweizer und internationale Medien. » Traduction de SinOptic: Peter ACHTEN est né en 1939 à Bâle. Après ses études, il a travaillé comme journaliste dans la presse locale, puis en tant que correspondant en Amérique latine et en Espagne. Ensuite, il a travaillé dix ans en tant que producteur et présentateur du « Tagesschau » [le « Téléjournal » de la Radio télévision Suisse alémanique]. Il est arrivé en 1986 à Beijing, en tant que correspondant du Tages-Anzeiger et de la radio, y demeurant jusqu’en 1990. Il partit ensuite pour Washington comme correspondant de la télévision. De 1994 à 1997, Peter ACHTEN est passé correspondant an Asie, basé à Hongkong. Suivirent alors deux ans au Vietnam. Dès 1999, il a vécu et travaillé à Beijing en tant que correspondant pour les médias suisses et internationaux. En 2016, il est rentré en Suisse. |
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Considerations of a Swiss Monument Preservationist During a Visit to Traditional Villages in China: Texte en allemand écrit pour le site SinOptic par M. Christian RENFER, que nous remercions chaleureusement : Ein schweizerische-chinesisches Pilotprojekt zur Dorferhaltung und Dorfentwicklung in der Provinz Yunnan (China) – das «Shaxi Rehabilitation Project» (2000 – 2016) In der zweisprachigen Fachzeitschrift «Heritage-Architecture», die die Tongji Universität in Schanghai (Prof. Chang Qing, Vorsteher des College of Architecture) seit diesem Jahr herausgibt, ist in deren zweitem Heft (Mai 2016) auch ein zusammenfassender persönlicher Bericht des ehemaligen Leiters der Kantonalen Denkmalpflege Zürich über das «Shaxi Rehabilitation Project» in der Provinz Yunnan erschienen. Dieses Projekt hat Prof. Willy Schmid, emeritierter Vorsteher des IRL (Institut für Raum- und Landesplanung) der ETH initiiert und geleitet. Der Autor hat die Anfänge dieses erfolgreichen schweizerisch-chinesischen Pilotprojektes 2003 vor Ort miterlebt und unterrichtet seither als Referent für westliche Denkmalpflege an mehreren chinesischen Universitäten, u.a. an der Tongji Universität in Schanghai. Der Artikel ist leider noch nicht im Internet abrufbar. Der Verfasser stellt jedoch Interessenten gerne ein PDF des illustrierten Textes zur Verfügung (Adresse: ). Das Shaxi Projekt der ETH hat für China deshalb Vorbildcharakter, weil es in anderen Provinzen ähnliche ländliche Kulturlandschaften mit intakten Dörfern und traditionellen Strukturen gibt, bei denen es sich lohnen würde, sie gesamtheitlich zu erhalten und situativ weiterzuentwickeln. Shaxi liegt im Westen der Provinz Yunnan, nahe des Jangtse Flusses (Tiger Leaping Gorge) im Jianchuan County (Autonome Präfektur Dali) zwischen Lijiang und Dali Old Town. Das Tal ist gut erreichbar mit dem Auto. Ob man von Lijiang oder von Dali aus startet, die Fahrt dorthin ist sehr eindrücklich. Heute kann man den Grossteil der Strecke auf der Autobahn zurücklegen, was viel Zeit spart. Die Hügellandschaft des Jianchuan County, in dem das Shaxi Tal liegt, ist äusserst reizvoll, vor allem im Frühjahr, wenn der gelbe Raps blüht, oder im Herbst, wenn das Laub bunt wird – ein Hauch von Toskana! Entscheidend für die Entwicklung des Shaxi-Tales ist die Tatsache, dass es zwar im Einzugsbereich von touristischen Knotenpunkten des internationalen und nationalen Tourismus (Lijiang und Dali), aber aus topographischen Gründen abseits von den bekannten Orten des Massentourismus liegt. Eine ideale Lage für die Entwicklung eines verantwortungsvollen Tourismuskonzepts, wie es dem Shaxi Rehabilitation Project von Anfang an zugrunde gelegt wurde. Die Anfänge des Shaxi Projekts gehen ins Jahr 2000 zurück und im zweiten Jahrzehnt seiner Realisierung kann man die weitere Entwicklung im Shaxi Tal und seines zentralen Marktortes Shaxi Old Town (chinesisch Sideng) recht gut beurteilen. Neben den erfolgreichen Komponenten sind allerdings auch die bekannten Folgen eines überhandnehmenden Touristenstroms zu beobachten. Nicht nur stille Gasthäuser sind in Shaxi mehr und mehr gefragt, sondern auch Konsumangebote, Souvenirshops und Bars.
Die Projektstruktur war von Anfang an auf eine aktive Zusammenarbeit zwischen der Schweizerischen Technischen Hochschule und den örtlich zuständigen Behörden in China angelegt. Entsprechend wurde es in den folgenden Jahren etappenweise umgesetzt und liegt nun ganz in der Verantwortung der lokalen Behörden und Institutionen. Es ist zu hoffen, dass das Projekt seinen Vorbildcharakter für China noch lange behalten kann. Christian Renfer Un projet pilote sino-suisse pour la préservation et le développement d’un village dans la province du Yunnan – Le « projet de réhabilitation de Shaxi » (2000 – 2016) Le deuxième numéro (mai 2016) de la revue bilingue « Patrimoine Architecture 建筑遗产« , publiée depuis cette année par l’Université Tongji à Shanghai (Prof. CHANG Qing, chef du Collège d’architecture), comprend un résumé personnel rédigé par l’ancien chef des monuments historiques du canton de Zurich sur le « projet de réhabilitation de Shaxi » dans la province du Yunnan. Ce projet avait été lancé et dirigé par le Prof. Willy SCHMID, directeur émérite de l’Institut für Raum- und Landesplanung (IRL), rattaché à l’École polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ). L’auteur a été le témoin sur place des débuts en 2003 de ce projet pilote sino-suisse et est appelé comme consultant en matière de monuments historiques occidentaux auprès de plusieurs universités chinoises, entre autres l’Université Tongji à Shanghai. L’article n’est pas encore disponible sur l’Internet. Cependant, l’auteur met volontiers à disposition ce texte illustré au format PDF (adresse de contact : ). Le projet Shaxi de l’EPFZ sert de modèle en Chine, car d’autres provinces présentent aussi des paysages ruraux avec des villages préservés et des structures traditionnelles, pour lesquels il vaudrait la peine de développer un projet global de préservation. Pour un grand pays, où l’agriculture garde encore une position économique importante, à la différence des pays européens, mais est directement menacée par l’urbanisation rapide, il est utile de recourir davantage à des moyens appropriés venant de l’aménagement du territoire. Contrairement aux villes en plein essor, où le développement menace rapidement de sortir des rails, une base de planification pourrait être mise en place, qui déploierait ses effets de manière durable pour les prochaines générations, une base qui comprendrait une préservation ordonnée et sensée des paysages urbains. Shaxi est situé à l’Ouest de la province du Yunnan, près du fleuve Yangzi (Gorges du Saut du tigre) dans le district de Jianchuan (Préfecture autonome de Dali) entre Lijiang et la vieille ville de Dali. La vallée est facilement accessible en voiture. Que l’on parte de Lijiang ou de Dali, le trajet est très impressionnant. Aujourd’hui, l’autoroute couvre sa majeure partie, ce qui gagne beaucoup de temps. Les collines du district de Jianchuan, où la vallée de Shaxi est située, sont très attrayantes, surtout au printemps quand le colza se pare de jaune ou à l’automne lorsque le feuillage est coloré – on se croirait en Toscane ! Particulièrement crucial pour le développement de la vallée de Shaxi est le fait qu’elle se trouve dans la zone de rayonnement d’un centre du tourisme international et domestique (Lijiang et Dali), mais qu’elle reste, pour des raisons topographiques, à l’écart des lieux connus du tourisme de masse. Soit un emplacement idéal pour le développement d’un concept de tourisme responsable, ainsi qu’il fut stipulé dès le démarrage du projet de réhabilitation de Shaxi. Ce projet remonte à l’année 2000 et se trouve dans la deuxième décennie de sa mise en œuvre. On peut ainsi mieux évaluer les nouveaux développements de la vallée de Shaxi et de sa place de marché centrale, Shaxi Old Town (Sideng en chinois). À côté d’éléments réalisés avec succès, les conséquences bien connues d’un afflux de touristes peuvent néanmoins être observées. Il n’y a pas que de calmes auberges qui soient de plus en plus demandées, mais mais également des offres de consommation, des boutiques de souvenirs et des bars.
La structure de ce projet a été conçue dès le début sur la base d’une collaboration active entre l’École polytechnique fédérale et les autorités locales compétentes en Chine. En conséquence, la mise en œuvre s’est faite par étapes les années suivantes et se trouve maintenant entièrement sous la responsabilité des autorités et des institutions locales. Il est à espérer que ce projet puisse garder en Chine son caractère modèle pendant de nombreuses années encore. Christian RENFER Un progetto-pilota svizzero-cinese per la conservazione e sviluppo dei villaggi nella provincia dello Yunnan (Cina) – il «Shaxi Rehabilitation Project» (2000 – 2016) Nel secondo numero (maggio 2016) della rivista specialistica bilingue «Heritage-Architecture», curata da quest´anno dall´Università Tongji di Shanghai (Prof. Chang Qing, Presidente del College of Architecture), è stata pubblicata una relazione sintetica e personale dell´allora sovraintendente ai monumenti del cantone di Zurigo sul «Shaxi Rehabilitation Project» nella provincia dello Yunnan. Questo progetto è stato ideato e diretto dal Prof. Willy Schmid, Presidente emerito del IRL (Institut für Raum und Landesplanung – Istituto per la pianificazione territoriale) del Politecnico federale di Zurigo (ETH). L´autore ha vissuto di persona nel 2003 gli albori di questo progetto-pilota svizzero-cinese e da allora è referente esperto nella conservazione occidentale dei monumenti presso diverse università cinesi, compresa l´Università Tongji di Shanghai. Questo articolo purtroppo non è ancora disponibile su internet. Tuttavia, l´autore mette volentieri a disposizione degli interessati il testo illustrato in formato PDF (Indirizzo e-mail: ) Il progetto Shaxi della ETH serve da modello alla Cina perché esistono culture paesaggistiche rurali simili anche in altre province, con villaggi intatti e strutture tradizionali, per le quali varrebbe la pena sviluppare un progetto globale di conservazione. Shaxi si trova nell´ovest della provincia dello Yunnan, vicino al fiume Yangzi (Gola del Salto della Tigre) nel distretto Jianchuan (Prefettura autonoma di Dali) tra Lijiang e la città vecchia di Dali. La valle è facilmente raggiungibile in macchina. Il viaggio verso questa meta è impressionante, sia che si parta da Lijiang sia da Dali. Attualmente la maggior parte della tratta è percorribile in autostrada, permettendo di risparmiare molto tempo. Il paesaggio collinare del dipartimento di Jianchuan in cui giace la valle di Shaxi è estremamente affascinante, soprattutto in primavera, quando la colza gialla fiorisce, oppure in autunno quando le foglie si tingono di diversi colori – un´atmosfera che ricorda le colline toscane! Particolarmente decisivo per lo sviluppo della valle di Shaxi è il fatto che si trova alle porte dei nodi turistici internazionali e nazionali (Lijiang e Dali), ma allo stesso tempo rimane al riparo dei luoghi del turismo di massa per ragioni topografiche. Una posizione ideale quindi per lo sviluppo di un concetto di turismo responsabile, così come è stato concepito nell´ambito del Shaxi Rehabilitation Project. Le basi del progetto Shaxi risalgono al 2000 e nel secondo decennale della sua realizzazione si può valutare meglio l´ulteriore sviluppo della valle di Shaxi e il suo mercato centrale nella città vecchia (in cinese sideng). Parallelamente agli elementi di successo della valle si osservano anche le conseguenze note dei flussi turistici di massa. In Shaxi sono sempre più richiesti non solo i tranquilli alberghi ma anche luoghi di consumo, negozi di souvenir e bar. Quando nel 2000 l´IRL della ETH fu invitato dal dipartimento di Jinchuan a mostrare le opportunità di sviluppo della idillica valle di Shaxi, l´istituto ETH, sotto la direzione del Prof. Willy Schmid, iniziò il „Shaxi Rehabilitation Project“ (SRP) per lo sviluppo socio-economico della valle di Shaxi, definito nei seguenti punti:
La struttura del progetto è stata orientata fin dall´inizio alla collaborazione attiva tra il politecnico svizzero e le autorità locali competenti in Cina. Il progetto è stato realizzato negli anni in diverse tappe e si trova oggi completamente sotto la responsabilità delle istituzioni e autorità locali. Si auspica che il progetto rimanga un modello per la Cina ancora per molto tempo. Christian Renfer |
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China: der nächste Horizont Texte tiré du site NZZ Libro : «Erfolg hat in China nur, wer das Land versteht und bereit ist, von den Chinesen zu lernen». Der das schreibt, muss es wissen: Unter der Leitung von Roland Decorvet verdreifachte Nestlé den Umsatz in China, das mittlerweile zum zweitwichtigsten Markt des Lebensmittelkonzerns geworden ist. Das Zitat stammt aus dem Vorwort zum Buch «China: der nächste Horizont» von Joachim Rudolf und Elisabeth Tester. Die beiden Autoren sind profunde Kenner von Chinas Wirtschaft. Joachim Rudolf arbeitete viele Jahre für ein chinesisches Unternehmen in der Volksrepublik und knüpfte wichtige Beziehungen. Dies ermöglichte ihm, «die Geschäftswelt Chinas aus Sicht eines inländischen Unternehmens persönlich erfahren zu dürfen und zu erleben, wie die Finanz- und Kapitalmärkte in China für chinesische Marktteilnehmer funktionieren». Elisabeth Tester reiste bereits 1986 als Studentin nach China. Bis vor kurzem berichtete sie als Wirtschaftskorrespondentin aus Shanghai für die Zeitung «Finanz und Wirtschaft». Chinas Finanzmärkte sind noch wenig entwickelt Der Weg dorthin ist für nicht Eingeweihte fast nicht zu erkennen, Orientierungshilfe ist daher hochwillkommen. Hier setzen Rudolf und Tester mit ihrem Buch ein. Sie helfen dabei, «Chinas wirtschaftlichen Fortschritt besser zu verstehen, seine politischen Entscheidungen einordnen und den Um- und Ausbau seiner Finanzmärkte überblicken zu können.» Sie schärfen «den Blick für die Chancen des Landes und das Potential seiner Unternehmen» ebenso wie für die wahren Risiken im Investitionsmarkt. Wegweiser für Anleger und Unternehmer Der zweite Teil «Die Finanz- und Wertschriftenmärkte» gibt einen umfassenden Überblick über die Finanzdienstleister, den Wertschriftenhandel und die Börsen. Er beantwortet Fragen wie: Was bedeutet die Dominanz der staatlichen Banken? Welche Funktion üben in China die Aktien- und Anleihenmärkte aus? Wie funktioniert ein Börsengang in China? Wie offen sind die Finanzmärkte? Teil 3 «Wie in Chinas Finanzmärkte investieren?» hilft Investoren und Unternehmern, Erfolg versprechende Sektoren auszuwählen und eine geeignete Anlagestrategie sowie passende Anlageinstrumente zu finden. Zentrale Fragen sind: Wie kann ein Privatanleger in China überhaupt investieren? Welche spezifischen Herausforderungen stellen sich? Dieser Teil fasst in einer Checkliste die wichtigsten Erkenntnisse für Investoren zusammen. Teil 4 «Wie geht es weiter?» wirft einen detaillierten Blick auf die Zukunft der chinesischen Finanzmärkte. Er behandelt die längerfristigen Trends und analysiert politische und wirtschaftliche Risiken, die nicht vernachlässigt werden dürfen. Joachim RUDOLF (55) erlebte als Finanzchef eines rein chinesischen Unternehmens die Industrie- und Finanzwelt Chinas aus nächster Nähe – und lernte, mit welchen Chancen und Problemen ein chinesisches Unternehmen täglich konfrontiert ist. Seit 2015 ist er Geschäftsführer von ChinaIntelligence, einem Beratungsunternehmen für Investitionen in China. Er hat in Betriebswirtschaft an der Universität St. Gallen doktoriert und spricht Mandarin. Joachim Rudolf ist gefragter Chinakommentator für zahlreiche Medien. Elisabeth TESTER (52) bereiste China das erste Mal im Jahr 1986. Ihre Faszination für das Land und die Leute hat sich in den letzten 30 Jahren bei vielen Reisen weiter intensiviert. Von 2012 bis 2015 lebte sie als Chinakorrespondentin der Schweizer Finanzzeitung «Finanz und Wirtschaft» in Schanghai. Seit Sommer 2015 ist sie selbstständige Autorin zu Wirtschaftsthemen mit Schwerpunkt China. Sie ist Mitgründerin von ChinaIntelligence. Elisabeth Tester hat Volkswirtschaftslehre und Ökonometrie an der Universität Zürich studiert und spricht Mandarin.» |
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Appelons-la Cosmos ! Texte tiré du site ÉdiLivre : D’origine chinoise, installée en Suisse depuis 1989, Lena LIO dirige aujourd’hui l’entreprise SinoLéman qui propose ses services aux entreprises suisses et chinoises actives dans les deux pays. Parallèlement à ses activités commerciales, Lena LIO exerce divers mandats politiques au nom du parti Vert’libéral, dont celui de députée au parlement du Canton de Vaud. |
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Created in China: How China is Becoming a Global Innovator Version en chinois parue au début de 2017: Texte transmis par M. le professeur Georges HAOUR : Ce passage exige un essor de l’innovation. Celle-ci est déjà présente dans certains secteurs, comme les activités en ligne et les technologies de l’information et des télécommunications. Les cadres de sociétés non-chinoises en Chine estiment déjà, pour les deux tiers d’entre eux, que leurs compétiteurs sont au moins aussi innovateurs que leurs sociétés. Soutenue diligemment par les politiques publiques, cette innovation va se propager et les auteurs concluent que, d’ici 10 à 15 ans, la Chine devrait être une source majeure d’innovations pour le monde. » Présentation tirée du site de l’éditeur : Companies are the essential engines of the wealth-creation process, particularly in the areas of internet and mobile telecommunications, and firms such as Tencent and Xiaomi are showing clear potential to become major players. Demonstrating strong commitment to the country’s relentless progress in the realm of innovation, the Chinese government has encouraged the development of a business environment in which firms can experiment, operate and thrive. Created in China provides an examination of the critical human factors at play, as well as re-assessing some of the metrics traditionally used to describe and measure China’s capacity for innovation. As Chinese firms begin to transform the country into a truly global innovator, the emerging patterns of future innovation are identified and reviewed. New and dynamic practices are arising that are recognisably Chinese, yet at the same time capable of competing on the world stage. Following the successes of firms such as Huawei, Haier and Lenovo, a growing number of technology-focused firms are now turning their attention towards markets outside of China – a development that will not only benefit the country but will provide exciting opportunities for businesses throughout the world. » M. Georges HAOUR est professeur à l’IMD à Lausanne. 《从中国制造到中国创造:中国如何成为全球创新者》经过多年的发展,中国完成了从工业大国到工业强国的转变。除了生产全世界近半数的电脑、数码相机和厨房电器,中国的制造业把更多的精力转移到自主产品的开发中,产业升级和经济转型成为未来发展的重中之重。能否顺利从中国制造转型为中国创造,决定着中国的未来,决定着每一个中国企业的命运。 |
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Das Recht der Volksrepublik China vor den Herausforderungen des 21. Jahrhunderts Résumé tiré du site de l’éditeur : |
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Maoismus oder Sinomarxismus? « Auf welchen geistigen Grundlagen wird die Volksrepublik China zu Beginn des 21. Jahrhunderts in die Zukunft geführt? Sind dies antike Staatsphilosophien wie Konfuzianismus oder Legismus oder John Deweys « Experimentalismus » oder der « Pragmatismus »? Oder wirkt immer noch der « Maoismus » nach? Diese geistigen Ressourcen werden von Wissenschaftlern der deutschsprachigen Chinaforschung und einem namhaften Journalisten näher beleuchtet. Im Fokus des vorliegenden Bandes steht indes eine im Westen weitgehend übersehene politische Theorie, der « Sinomarxismus ». Er wird von der größten politischen Partei der Welt, der Kommunistischen Partei Chinas (KPCh), als « Richtschnur ihres Handelns » bezeichnet. In diesem Band wird der Zusammenhang zwischen der « Richtschnur » und den außerhalb Chinas so gut wie unbekannten zwei 100-Jahreszielen sowie mit der chinesischen Innen- und Außenpolitik eingehend untersucht und diskutiert. » Harro VON SENGER est juriste et sinologue. |
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Chinese Whispers Catalogue de l’exposition présentée à Berne du 19 février au 19 juin 2016. |
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Review and Outlook of the Economic and Trade Cooperation Cet ouvrage [version pdf reconstituée à partir du site du Ministère chinois du commerce], en chinois et en anglais, comprend les contributions suivantes :
The bilateral cooperation on economy and trade
Chinese Companies in Switzerland
Swiss Companies in China
Local-level Cooperation Sino-Swiss Zhenjiang Ecological Industrial Park Guizhou – Switzerland Cooperation Chinese Economy A brief introduction to the economic development and investment entironment of China Conclusion Conclusion |
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Connaissance et réception de la Révolution culturelle chinoise dans la presse romande (1966-1976) Alexandre BIANCO Mémoire de mastère, Université de Fribourg, 2016. |
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Daododejing – Das Buch vom Dao und De Hsing-Chuen SCHMUZIGER-CHEN Boniswil, Taotime Verlag, 2016, 183 p. ISBN: 978-3-89524296-3-1 Texte repris du site de l’éditeur: «Das Daodejing ermöglicht eine über 2500 Jahre alte, weise Sicht auf die Welt, die den achtsamen Umgang mit Mensch und Umwelt aufzeigt. Die Neuübersetzung des taoistischen Klassikers aus der Feder von Hsing-Chuen SCHMUZIGER-CHEN und Marc SCHMUZIGER berücksichtigt die aktuellen philologischen Erkenntnisse und hält sich in ihrer schlichten und poetisch-bildhaften Sprache nahe am chinesischen Urtext. Im zweiten Buchteil eröffnet ein ausführlicher Kommentar den Zugang zu diesem faszinierenden spirituellen und kultischen Text, dessen angewandte Philosophie auch überraschende Antworten auf die ökologischen und ökonomischen Probleme unserer Zeit zu geben vermag. Mit der kalligraphischen Darstellung des chinesischen Textes sowie der hochwertigen Bindung erhält die interessierte Leserschaft ein handliches und praktisches Buch, das auch das bibliophile Auge erfreut.» Née en 1961 à Taiwan, Mme Hsing-Chuen SCHMUZIGER-CHEN vit et travaille en tant que musicienne, traduction et autrice à Boniswil dans le canton d’Argovie. |
Modification de la page le 11.11.2024