La Chine dans un grain de riz: micronouvelles chinoises
Ce texte, rédigé par Mme la professeure Grâce POIZAT-XIE, est disponible sur le blogue de l’Institut Confucius de l’Université de Genève.
Ce texte, rédigé par Mme la professeure Grâce POIZAT-XIE, est disponible sur le blogue de l’Institut Confucius de l’Université de Genève.
Professeur honoraire de l’Université de Genève et fondateur des études chinoises dans cette université, le sinologue Jean François BILLETER publie simultanément ces deux brefs essais indépendants, mais jumeaux. Dans le premier, il tente de faire, sous une forme brève, la synthèse de l’expérience qu’il a acquise au fil des années en enseignant les premiers éléments de cette langue. Dans le second, il met en lumière ce qui est le caractère propre du chinois, et qui n’a pas été aperçu jusqu’ici.
Il poursuit par ailleurs ses réflexions avec un autre ouvrage intitulé Le Propre du sujet, qui porte notamment sur la « reconnaissance de notre besoin et désir le plus fondamental, qui est de devenir sujets ».
En librairie dès le 4 février 2021.
Voir notre page correspondante.
Sans le mentionner, les représentations chinoises réagissent au rapport du professeur Ralph WEBER, intitulé Unified Message, Rhizomatic Delivery: A Preliminary Analysis of PRC/CCP Influence and the United Front in Switzerland (voir nos informations du 18 décembre 2020): « L’Ambassade de Chine en Suisse et le Consulat général à Zurich ont appris qu’un soi-disant «rapport académique», récemment publié, politisait et diffamait les activités et les échanges conduits par l’Ambassade et le Consulat, la diaspora chinoise et les étudiants chinois à l’étranger. Ce rapport est rempli d’allégations absurdes, y compris de «théories du complot» et de «théories d’infiltration», et portent atteinte aux droits et intérêts légitimes des Chinois en Suisse. En outre, il sape les échanges réguliers et la coopération entre la Chine et la Suisse. Nous condamnons fermement ces allégations et protestons avec véhémence contre elles. »
Voir l’entier de la prise de position en chinois et en allemand du 13 janvier 2021 sur le site de l’Ambassade de Chine en Suisse.
Quelques jours plus tard, le 21 janvier 2021, le Consulat général a publié une seconde prise de position en chinois et en allemand.
Cette étude menée par M. Ralph WEBER, professeur à l’Europainstitut de l’Université de Bâle, étudie certains des réseaux que le Parti communiste chinois (PCC) utilise pour influencer la société suisse ainsi que les milieux économiques et politiques.
Télécharger le rapport en anglais (69 pages).
An ethnographic survey in Guangfu “Taiji Township“, est un article écrit par M. Pierrick PORCHET, assistant à l’Institut Confucius de l’Université de Genève. Le bourg de Guangfu 广府镇 se trouve dans le district de Yongnian, ville-préfecture de Handan, province du Hebei. Il est souvent appelé la « Cité du Taiji ».
Ce document est à disposition dans le blog scientifique de l’Institut.
Cet ouvrage collectif, dont le titre en chinois est 法语背景学生学汉语偏误分析, concerne la didactique et l’apprentissage de cette langue. Plusieurs membres du corps enseignant de l’Institut Confucius et de l’Unité des études chinoises de l’Université de Genève y ont contribué.
Brève présentation dans nos pages.
M. Georges GOORMAGHTIGH fut chargé d’enseignement de 1976 à 2008 à l’Unité de chinois de l’Université de Genève. Expert passionné du qin, cette cithare à cordes pincées, il publie un livre accompagné d’un CD pour « témoigner de l’impact que peut avoir, en musique, un enseignement traditionnel, lorsqu’il est dispensé par un maître éminent ». En évoquant son passé et les souvenirs de ses séjours en Chine, M. GOORMAGHTIGH veut ainsi rendre hommage à son maître, Mme TSAR Teh-yun (1905-2007), musicienne, poétesse et calligraphe.
Pour passer commande et écouter des extraits de morceaux choisis, se référer au site le Grain des choses.
Dans un article intitulé Une vie pour le qin – Georges GOORMAGHTIGH, le Bo Ya des temps modernes, et publié sur le site Question Chine, M. Patrice FAVA, sinologue et anthropologue, met en exergue l’apport de celui qui s’est dédié à cet « instrument des sages ».
Ils demandent notamment aux autorités chinoises de libérer immédiatement tous les détenus des camps de détention au Xinjiang et de stopper la campagne de répression qui vise la population ouïghoure.
Les signataires viennent d’universités et de centres de recherche en France, en Belgique et en Suisse.
Cet appel a été publié le 10 octobre 2018 par Le Monde et repris le 17 octobre 2018 par Le Temps.
Sur proposition de la Faculté de philosophie, Mme Jessica Elizabeth IMBACH se voit attribuer cette récompense pour sa thèse intitulée «Not Afraid of Ghosts: Stories of the Spectral in Modern Chinese Fiction».
Voir la brève publiée le 7 mai 2018 par l’Université de Zurich.
M. Jean François BILLETER reçoit cette récompense pour ses deux ouvrages « Une rencontre à Pékin » et « Une autre Aurélia » (éditions Allia). Sinologue et professeur honoraire de l’Université de Genève, où il fut titulaire de la chaire d’études chinoises depuis sa création en 1987 jusqu’en 1999, date à laquelle il prit sa retraite académique, il se consacre depuis à la rédaction d’ouvrages. Ce prix lui sera remis le 17 mai 2018 au Cercle littéraire de Lausanne.