À l’unisson avec les organisations de Ouïghours et Tibétains de Suisse, la Société pour les peuples menacés et la Société d’amitié tibéto-suisse font le constat que la situation de droits de l’homme s’est détériorée au Tibet et au Xinjiang. Dans un communiqué conjoint, elles exigent des autorités politiques suisses de ne plus contribuer au projet « Une ceinture, une route », de garantir en Suisse aussi la liberté d’expression au sujet de la situation dans ces deux régions, de s’engager pour la fermeture des camps d’internement au Xinjiang et d’agir contre la surveillance et pour le respect des droits de l’homme des Tibétains et des Ouïghours.
Communiqué en allemand du 28 novembre 2019.