Romans, essais et divers
Isabelle GENDRE | Wilde Gräser |
Alice GRÜNFELDER | Die Wüstengängerin |
Alain CAMPIOTTI | La Rue Longue |
Matthias GNEHM | Die kopierte Stadt |
Philippe RAHMY | Béton armé |
François DEBLUË | Une certaine Chine |
Daniel GLINZ | L’Ombre Jaune |
WANG Shuo | Vous êtes formidable ! |
|
|
Wilde Gräser Présentation tirée du site de l’éditeur : Isabelle GENDRE, geboren 1955, wuchs in Zürich auf. Dreißig Jahre lang lebte sie mit ihrem damaligen Mann und ihren zwei Töchtern in neun verschiedenen Ländern in Europa, Afrika, Amerika und Asien. Seit 2005 wohnt sie wieder in Zürich und arbeitet als freischaffende Schriftstellerin, Korrektorin und künstlerische Gestalterin. Inspiriert durch ihren vierjährigen Aufenthalt in Nordchina und mehrere Reisen durch dieses Land, studierte sie Sinologie und die mandschurische Sprache. 2017 veröffentlichte sie den historischen Roman Die Leibwache des Kaisers, der die Geschichte des mandschurischen Kaisers Kangxi erzählt. Außerdem sind von der Autorin folgende Romane erschienen: Grenzwinde huschen kalt über den Palast, Der Kreuzgang, Zarathustras Lüge, Ignaz, Auf dem Berg, Carte Blanche, sowie das Sachbuch Si Miao, wo Buddha und Mao sich treffen und das Kunstbuch Tusferi, ein Bilderbuch, mit Collagen und Fotos.» [traduction et adaptation de SinOptic] Née en 1955, Isabelle GENDRE a grandi à Zurich. Pendant trente ans, elle a vécu avec son mari et ses deux filles dans neuf pays différents en Europe, en Afrique, en Amérique et en Asie. Depuis 2005, elle vit à Zurich et travaille en tant qu’écrivaine, correctrice et designer artistique indépendante. Inspirée par son séjour de quatre ans dans le nord de la Chine et par plusieurs voyages dans le pays, elle a étudié la sinologie et le mandchou. En 2017, elle a publié le roman historique Die Leibwache des Kaisers, qui raconte l’histoire de l’empereur mandchou Kangxi. En outre, l’auteur a publié les romans suivants: Grenzwinde huschen kalt über den Palast, Der Kreuzgang, Zarathustras Lüge, Ignaz, Auf dem Berg, Carte Blanche, sowie das Sachbuch Si Miao, wo Buddha und Mao sich treffen et le livre d’art Tusferi, ein Bilderbuch, avec des collages et des photographies.» |
|
|
|
Die Wüstengängerin Présentation tirée du site de l’éditeur : 20 Jahre später reist die schwerkranke Linda für ihr letztes Entwicklungsprojekt nach Xinjiang. Doch die Behörden verweigern die zugesicherte Zusammenarbeit. Im Gästehaus zur Untätigkeit verdammt, stösst Linda auf die Aufzeichnungen, welche die verschollene Roxana zurückgelassen hat, und sie folgt deren Spuren. Vor dem Hintergrund des Widerstands der UigurInnen gegen die chinesische Regierung in Xinjiang, der spätestens seit 2009 auch im deutschsprachigen Raum Schlagzeilen macht, verstrickt sich das Schicksal der zwei eigenwilligen Frauen. Erstmals wird aus europäischer Perspektive von der Geschichte und Gegenwart einer wenig beachteten Region erzählt. Feinfühlig und kenntnisreich zeichnet die Autorin ein Panorama der Schicksale von Menschen, die in China an den Rand gedrängt werden.» [traduction et adaptation de SinOptic] «L’étudiante en sinologie, Roxana, parcourt la route de la soie au début des années 1990 pour découvrir des peintures rupestres, bouddhiques et inconnues, dans la région du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine. Elle aimerait montrer que la région n’a pas toujours été islamique, mais qu’elle a des racines bouddhistes. Les années de recherche de Roxana ne mènent pas au succès espéré, mais les mains vides, elle ne veut pas retourner en Europe, d’autant plus que rien ne vaut la peine de rentrer chez elle. Son départ vers l’inconnu se perd dans les sables du Taklamakan, ce « désert sans retour ». Vingt ans plus tard, Linda, gravement malade, se rend dans le Xinjiang pour son dernier projet de développement. Mais les autorités refusent la coopération assurée. Dans la maison d’hôtes, condamnée à l’inaction, Linda tombe sur les archives laissées par la disparue Roxana et suit sa trace. Dans le contexte de la résistance des Ouïghours contre le gouvernement chinois au Xinjiang, qui fait la une des journaux dans les pays germanophones depuis 2009, le sort de ces deux femmes affirmées s’emmêle. Pour la première fois, l’histoire et le présent d’une région peu suivie sont racontés dans une perspective européenne. Sensible et compétente, l’auteure dresse un panorama du sort des personnes marginalisées en Chine.» |
|
|
|
La Rue Longue Présentation tirée du site de l’éditeur : Alain CAMPIOTTI est journaliste. « La Rue Longue » est son premier roman. En 2012 avait déjà paru « Fontaine Blanche », un récit dans lequel Myriam MEUWLY et Alain CAMPIOTTI racontaient à quatre mains l’histoire de leur couple entre fusion, fuite et destruction. » |
|
|
|
Die kopierte Stadt Présentation tirée du site de l’éditeur : [traduction et adaptation de SinOptic] Né en 1970 à Zurich, Matthias GNEHM est architecte diplômé de l’École polytechnique fédérale de Zurich. Il travaille actuellement en tant qu’artiste comique indépendant et architecte. |
|
|
|
Béton armé Philippe RAHMY, Paris, La Table Ronde, 2013, 208 p., Préface : Jean-Christophe RUFIN ISBN : 9782710370734 Extrait de la préface de Jean-Christophe RUFIN, de l’Académie française : « La vision qu’il nous livre de Shanghai est celle d’un homme pour qui cette ville représente non pas un lieu parmi d’autres, mais un nouveau monde. C’est qu’il lui en a coûté pour l’atteindre ! En notre siècle de vitesse et de facilité, RAHMY nous restitue un attribut qui fut longtemps propre au voyage : la difficulté. Il est plus près, à sa manière contemporaine, d’un Marco Polo que de nous. Les dangers que RAHMY a dû affronter ne sont pas les mêmes, mais ils sont aussi nombreux. Il en résulte un appétit de voir multiplié par le long jeûne de l’immobilité. »Extrait du site de l’éditeur : « Lorsque l’Association des écrivains de Shanghai l’invite en résidence, à l’automne 2011, Philippe RAHMY saisit cette chance, synonyme de péril. Fragilisé par la maladie, il se lance dans l’inconnu. Son corps-à-corps intense avec la mégapole chinoise, « couteau en équilibre sur sa pointe », « ville de folle espérance et d’immense résignation » donne naissance à un texte de rires et de larmes, souvent critique, toujours tendre, mêlant souvenirs d’enfance, rêves et fantasmes à la réalité. Bien plus qu’un récit de voyage, Béton armé est un flot d’images et de pensées que seule l’écriture a le pouvoir de contenir et de restituer. » Né à Genève en 1965 de père franco-égyptien et de mère allemande, Philippe RAHMY est atteint de la maladie des os de verre. Égyptologue, licencié en philosophie, il collabore au site www.remue.net. Il a publié deux recueils de poésie aux Éditions Cheyne : Mouvement par la fin, avec une postface de Jacques DUPIN (2005), couronné par le Prix des Charmettes/Jean-Jacques Rousseau et Demeure le corps (2007). |
|
|
|
Une certaine Chine François DEBLUË, Éditions d’Orzens, 2013, 135 p., CHF 32,– EAN13:9782884527422 « Ce livre ne prétend donc pas à l’exhaustivité ni à l’objectivité d’un guide, mais il nous propose des méditations sur le voyage et sur l’expérience de la différence. » François DEBLUË est poète et écrivain. |
|
|
|
L’Ombre Jaune roman Daniel GLINZ, Genève, Editions Métropolis, 2001, 251 p., glossaire français/japonais/chinois ISBN 2-88340-111-X, CHF 29.50 Pour celles et ceux qui avaient suivi les aventures du commissaire Yamakawa dans Le Russe et la Poupée (chez le même éditeur en 1998), L’Ombre Jaune, deuxième roman de Daniel Glinz, sera l’occasion de le retrouver: « Yamakawa, directeur du groupe STARS de l’agence nationale de police à Tokyo, n’avait pas pu se dérober au voyage en Chine organisé par les anciens du lycée. Arrivé à Hongkong au terme du périple, l’agent spécial rompu aux subtilités de la guerre de l’ombre, avait tout imaginé, sauf le vol de ses papiers d’identité et son propre enlèvement… Si le premier roman de Daniel GLINZ, Le Russe et la Poupée, avait été l’occasion d’une balade guidée dans un Tokyo au-delà des stéréotypes touristiques, poursuit notre initiation, cette fois dans les milieux japonais d’extrême-droite et dans le Hongkong nouvelle rattaché à la Chine. Daniel GLINZ, né à Genève, a étudié le sanskrit et l’art indien avant de s’initier au chinois à l’université de Nanjing (Nankin). Sa connaissance intime de l’Asie est le fruit d’une longue expérience de guide-conférencier, de correspondant de presse et de chargé de missions pour le Comité international de la Croix-Rouge. » |
|
|
|
Vous êtes formidable ! WANG Shuo, Lausanne, 1999, 107 p., traduit du chinois par Maité Aragonés Lumeras ISBN 2-8251-1123-6 En voici le texte de présentation fait par les Éditions l’Âge d’Homme: « Dans la Chine contemporaine «en pleine mutation», un groupe de jeunes gens désintéressés et pleins de bonne volonté fonde une entreprise dont le but sera d’élever sur un piédestal les individus insignifiants, les «Monsieur Tout-le-monde». Par une suite de péripéties rocambolesques ou grinçantes, entrecoupées de dialogues absurdes, cette association de flagorneurs met à nu les travers et les tabous d’une société profondément enracinée dans un conformisme aveugle et dans le mépris des droits de l’individu. Mais Wang Shuo ne se contente pas du reportage pour faire évoluer ses personnages, il pousse son travail littéraire aux confins de l’histoire et tire sur les ficelles de l’homme façonné par un environnement culturel désarçonnant et inimaginable.Essai philosophique, nouvelle, dénonciation ou scénario? Illustre pour ses écrits satiriques, Wang Shuo est l’écrivain le plus populaire de la Chine contemporaine. Son œuvre à fort caractère politique, emprunte d’humour équivoque et de rire jaune, est très prisée des cinéastes, qui ont traduit pratiquement tous ses livres à l’écran. Vous êtes formidable vient d’être adapté par Zhang Yimou. Son film Baba a remporté le Léopard d’or lors du 53ème festival du film de Locarno. Palmarès de l’édition 2000. Pour mieux connaître les oeuvres de Wang Shuo en chinois: http://www.shuku.net/novels/mulu/dangdai.html |
Modification de la page le 01.08.2024